Coulommiers : L’offre de santé se développe à l’Hôpital

    @J'aime Coulommiers

    Au-delà de la crise sanitaire, la municipalité de Coulommiers continue à investir sur son Hôpital. Construction de nouvelles salles d’opérations et arrivées de nouvelles spécialités, face à la désertification médicale, la ville agit. Après l’ouverture du nouveau bâtiment de médecine en 2021, quatre nouvelles salles opératoires seront construites, au printemps 2022, pour une livraison en 2023. L’une des salles sera dédié à l’endoscopie.

    « On est très vigilent. » Si la municipalité est grandement impliquée dans cette campagne vaccinale à la Sucrerie, les élus poursuivent leurs actions à l’Hôpital. « C’est très important ! Vous savez qu’on a inauguré cette année, le nouveau pôle de médecine et là, on va avoir le début des travaux des quatre nouvelles salles opératoires. Ça a du sens de faire des travaux d’investissements dans notre hôpital, ça veut bien dire qu’il existe et qu’il a un avenir. » souligne Laurence Picard.

    Laurence Picard, Maire de Coulommiers, est au micro de Crazy Radio

    L’investissement se trouve aussi dans les spécialisations. Debut 2021, l’orthogériatrie (patients âgés de plus de 75 ans souffrant de fractures), l’ORL et l’urologie ont commencé leur développement avec une forte croissance des actes ambulatoires et un renforcement de la chirurgie viscérale. « On va avoir surtout de nouvelles spécialités qui se développent… C’est important pour les Columériens et les habitants du territoire. On a de l’orthogériatrie, on va avoir de l’ORL qui va se développer en consultation, de l’urologie et de la dermatologie qui va doubler ses consultations. » Objectif ? Deux séries de consultations par semaine (au lieu d’une) et facilitation des prises de rendez-vous en dermatologie.

    Grâce à la construction des nouveaux blocs opératoires et au développement des nouvelles spécialisations… La municipalité investit sur l’avenir. « La mutualisation des trois sites du GHEF (Grand Hôpital de l’Est Francilien) permet à terme d’avoir des bons spécialistes dans tous les sujets qui tournent sur les sites. Chaque hôpital ne peut pas avoir tous les spécialités 24h24. » conclut Laurence Picard.